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Теория иностранного языка (тах. – 25 баллов)Беседа на русском языке, включающая обсуждение одного из следующих вопросов:
СПИСОК РЕКОМЕНДУЕМОЙ ЛИТЕРАТУРЫТренировочные тесты TOEFL, DELE, DALF, DAF на соответствующих сайтах.
Составители программы: д.ф.н., доцент кафедры немецкой филологии В.А. Андреева; к.ф.н., доцент кафедры фонетики английского языка О.А. Березина; к.ф.н., доцент кафедры перевода Л.В. Елизарова; к.п.н., профессор кафедры методики обучения иностранным языкам М.К. Колкова; к.п.н., доцент кафедры методики обучения иностранным языкам О.И.Трубицына, д.ф.н., профессор кафедры немецкой филологии Л.Б. Копчук; ст. пр. кафедры перевода В.П. Литус: к.ф.н., доцент кафедры перевода Н.В. Сигарева; д.ф.н., профессор кафедры романской филологии Л.А. Становая. ПРИЛОЖЕНИЯ Образцы текстов и заданий ПРИЛОЖЕНИЕ №1 Программы «Иностранный язык в контексте современной культуры», «Современная лингвистика и межкультурная коммуникация» Английский язык David Crystal A Dictionary of Linguistics and Phonetics (pp. 432 – 433) sentence The largest structural unit in terms of which the grammar of a language is organized. Innumerable definitions of sentence exist, ranging from the vague characterizations of traditional grammar (such as 'the expression of a complete thought') to the detailed structural descriptions of contemporary linguistic analysis. Most linguistic definitions of the sentence show the influence of Leonard Bloomfield (see bloomfieldian), who pointed to the structural autonomy, or independence, of the notion of sentence: it is 'not included by virtue of any grammatical construction in any larger linguistic form'. Research has also attempted to discover larger grammatical units (of discourse, or text), but so far little has been uncovered comparable to the sentence, whose constituent structure is stateable in formal, distributional terms. Linguistic discussion of the sentence has focused on problems of identification, classification and generation. Identifying sentences is relatively straightforward in the written language, but is often problematic in speech, where intonation and pause may give uncertain clues as to whether a sentence boundary exists. Classification of sentence structure proceeds along many different lines, e.g. the binary constituent procedures of immediate-constituent analysis, or the hierarchical analyses of hallidayan and other grammars (sentences being seen as composites of clauses, which in turn are analysed into phrases, etc.). In generative grammar, likewise, there are several models of analysis for sentence structure, with competing views as to the direction in which a sentence derivation should proceed. Certain analytic problems are shared by all approaches, (e.g. how to handle elliptical sentences (or 'sentence fragments'), such as To town (in answer to Where are you going?); how to handle cross-reference between sentences, such as She's writing ('sentence connectivity'); and how to handle the minor, non-productive sentence types in a language (e.g. Yes, Please, How do you do?). Most analysts agree on the need to recognize a functional classification of sentences into statement, question, command and exclamatory types. There is also widespread recognition (albeit with varying terminology) of a formal classification into declarative, interrogative, imperative and exclamative types. Most analyses also recognize some such classification of 'sentence patterns' into simple v. complex or compound types, i.e. consisting of one subject-predicate unit, as opposed to more than one. Whether one calls this subject-predicate unit a clause or a 'simple’ sentence, or uses some other term depends on one's model of analysis - but something analogous to this unit emerges in all theories, e.g. NP + VP, actor-action-goal, Subject-Verb-Object. Likewise, the number of formal sentence types recognized, and how they are best defined, has been and remains controversial. Several linguists insist on making a systematic distinction between sentence (a theoretical unit, defined by a grammar) and utterance (a physical unit, a matter of speech production or performance): in this view, utterances can be analysed in terms of sentences, but utterances do not 'consist of’ sentences. Задания к тексту
Немецкий язык Nonverbale (analogische) Kommunikation Aus: Heringer, H.J. Interkulturelle Kommunikation In der Erforschung interkultureller Kommunikation nimmt die nonverbale oder analogische Kommunikation einen großen Raum ein. Ihr kommt besondere Wichtigkeit zu, weil es hier häufig zu Missverständnissen kommt. Gründe dafür sind vor allem:
Allerdings halten wir die Gewichtung angeblicher Anteile nonverbaler Kommunikation für überzogen. Sie scheint eher darauf zurückzuführen, dass viele Psychologen, Anthropologen und Ethnologen sich mit interkultureller Kommunikation befasst haben und zu wenig Linguisten. Völlig aus der Luft gegriffen sind aber Behauptungen wie die nonverbale Kommunikation mache 70% der Kommunikation aus. Da soll man erst erklären, wie man Kommunikation misst und in Zahlen fasst. Solche Absurditäten braucht es nicht, um die Wichtigkeit nonverbaler Kommunikation zu beweisen. Wir stellen vorsichtshalber klar: Diskrete, sprachliche Kommunikation ist der bei weitem effektivste, differenzierteste und klarste Modus menschlicher Kommunikation. In den meisten Fällen sind Gesten nur sprechbegleitend und sie sind weitgehend ikonisch. <...>
Nonverbale Kommunikation ist spezifischer gedacht. Sie ist besonders zuständig für Gefühle, also für etwas, was sonst oft als unausdrückbar deklariert wird.
Французский язык Ferdinand de Saussure. Cours de Linguistique générale. Chapitre 1. Nature du signe linguistique. §2. Premier principe: l’arbitraire du signe Le lien unissant le signifiant au signifié est arbitraire, ou encore, puisque nous entendons par signe le total résultant de l’association d’un signifiant à un signifié, nous pouvons dire plus simplement: le signe linguistique est arbitraire. Ainsi l’idée de « sœur » n’est liée par aucun rapport intérieur avec la suite de sons s-ö-r qui lui sert de signifiant; il pourrait être aussi bien representé par n’importe quelle autre: à preuve les différences entre les langues et l’existance même de langues différentes: le signifié « bœuf » a pour signifiant b-ö-f d’un côté de la frontière, et o-k-s (Ochs) de l’autre. Le principe de l’arbitraire du signe n’est contesté par personne; mais il est souvent plus aisé de découvrir une vérité que de lui assigner la place qui lui revient. Le principe énoncé plus haut domine toute la linguistique de la langue; ses conséquences sont innombrables. Il est vrai qu’elles n’appаraissent pas toutes du premier coup avec une égale évidence; c’est après bien des détours qu’on les découvre, et avec elles l’importance primordiale du principe. Une remarque en passant: quand la sémiologie sera organisée, elle devra se demander si les modes d’expression qui reposent sur des signes entièrement naturels – comme la pantomime – lui reviennent de droit. En supposant qu’elle les accueille, son principal objet n’en sera pas moins l’ensemble des systèmes fondés sur l’arbitraire du signe. En effet tout moyen d’expression reçu dans une société repose en principe sur une habitude collective ou, ce qui revient au même, sur la convention. Les signes de politesse, par exemple, doués souvent d’une certaine expressivité naturelle (qu’on pense au Chinois qui salue son empereur en se prosternant neuf fois jusqu’à terre), n’en sont pas moins fixés par une règle; c’est cette règle qui oblige à les employer, non leur valeur intrinsèque. On peut donc dire que les signes entièrement arbitraires réalisent mieux que les autres l’idéal du procédé sémiologique; c’est pourquoi la langue, le plus complexe et le plus caractéristique de tous; en ce sens la linguistique peut devenir le patron général de toute sémiologie, bien que la langue ne soit qu’un système particulier. On s’est servi du mot symbole pour désigner le signe linguistique, ou plus exactement ce que nous appelons le signifiant. Il y a des inconvénients à l’admettre, justement à cause de notre premier principe. Le symbole a pour caractère de n’être jamais tout à fait arbitraire; il n’est pas vide, il y a un rudiment de lien naturel entre le signifiant et le signifié. Le symbole de la justice, la balance, ne pourrait pas être remplacé par n’importe quoi, un char, par exemple. Le mot arbitraire appelle aussi une remarque. Il ne doit pas donner l’idée que le signifiant dépend du libre choix du sujet parlant (on verra plus bas qu’il n’est pas au pouvoir de l’individu de rien changer à un signe une fois établi dans un groupe linguistique); nous voulons dire qu’il est immotivé, c’est-à-dire arbitraire par rapport au signifié, avec lequel il n’a aucune attache naturelle dans la réalité. I. Mots-clés / Ключевые слова. II. Вопросы к тексту:
Испанский язык Presentación de la nueva edición de la “Ortografía de la lengua española” (2010) La correcta escritura, el buen uso del léxico y el dominio de las reglas gramaticales constituyen los tres grandes ámbitos que regula la norma de una lengua. Por ello, los objetivos académicos, renovados constantemente a lo largo de los siglos, se han concentrado en tres publicaciones emblemáticas: la Ortografía, el Diccionario y la Gramática. La importancia otorgada al código ortográfico aparece ya en el Discurso proemial de la orthographía de la lengua castellana incluido en el primer tomo del Diccionario de autoridades (1726): «Una de las principales calidades, que no solo adornan, sino componen cualquier idioma, es la ortografía, porque sin ella no se puede comprender bien lo que se escribe, ni se puede percibir con la claridad conveniente lo que se quiere dar a entender». En la actualidad, junto a la obligación de «establecer y difundir los criterios de propiedad y corrección», la Real Academia Española se impone en sus Estatutos el objetivo prioritario de velar por la unidad del idioma, con el fin de que «los cambios que experimente la Lengua Española en su constante adaptación a las necesidades de los hablantes no quiebren la esencial unidad que mantiene en todo el ámbito hispánico» (art. i). Este ideal de unidad ha inspirado la vocación panhispánica que preside las obras que se vienen publicando en los últimos años: la Ortografía de la lengua española (1999), el Diccionario panhispánico de dudas (2005), la Nueva gramática de la lengua española (2009), el Manual de la Nueva gramática y el Diccionario de americanismos, obras todas ellas del trabajo mancomunado de la Real Academia Española y de la Asociación de Academias. La preparación de cualquiera de las obras académicas, ya sea la Ortografía, la Gramática o el Diccionario, incluidas las ediciones de mayor éxito editorial y de mayor reconocimiento, se realiza bajo el signo de la renovación y de la perfección. Apenas presentada una obra, se abre una nueva agenda en cuya primera página figura como lema renovador que constituye el ideal de toda expedición científica la expresión latina plus ultra. En 1999 vio la luz la última edición de la Ortografía de la lengua española, la primera que recibió el refrendo de todas las Academias de la Lengua Española y la primera que fue presentada antes en América que en España, en acto solemne y simbólico que tuvo lugar el 7 de septiembre de 1999, en el Salón de Honor de la Universidad de Chile, la «Casa de Bello», tan ligada a los avatares de la ortografía hispánica. Era una obra breve, sencilla, clara y didáctica, que alcanzó gran difusión en el mundo hispánico y cumplió satisfactoriamente con los fines que perseguía. En aras de la sencillez y la brevedad, la Ortografía de 1999 sacrificaba muchos detalles, casos concretos y problemas prácticos sobre la norma gráfica que asaltan de forma continua a los usuarios de la lengua. Tal carencia halló solución a través del servicio de consultas lingüísticas del Departamento de «Español al día» de la Real Academia Española. Diariamente se ha venido ofreciendo respuesta razonada a cientos de preguntas, desde las más teóricas hasta las más puntuales. Este proceder continuado ha incrementado progresivamente una rica base de datos que acumula de forma ordenada problemas y explicaciones sobre la norma lingüística, recopilación que, en su momento, fue fundamental en la elaboración del Diccionario panhispánico de dudas y que ahora constituye el arsenal básico para construir una nueva edición de la Ortografía más amplia, más detallada y minuciosa. I. Palabras clave/ Ключевые слова. II. Вопросы к тексту:
ПРИЛОЖЕНИЕ №2 Программа «Практика и дидактика перевода» Английский язык Library of the future? Paper books come at an environmental cost. Switching to electronic readers could be a much greener way to enjoy the printed word. I never used to believe in e-books. How could an electronic device hope to replace the beauty of the printed book form, the elegance of its design, the tactile sensation of turning the pages and the smell of good-quality paper? I love libraries. I love bookshops. I love the scent of the leather bindings and the musty pages. The mere presence of a large number of books induces a profound sense of wellbeing in me. But recently I've been intrigued by the idea that e-book readers could be a greener way to distribute the printed word. And since I started using one my position has begun to evolve. Printed books are not what they were; many are cheaply produced, smell peculiarly of chemicals, and bow or split before you've even finished reading them. Many of my parents' books, paperbacks bought in the 1960s and 1970s, are now unreadable: the glue in the spines has turned to brittle flakes, the pages are yellowed and fall out as soon as you open them. I always thought I'd keep my books for ever but it begins to be clear that they have a built-in obsolescence. Meanwhile my iliad e-book reader is sleek and beautiful. It's a pleasant object to hold, and with its useful page-turning bar, one-handed reading is simple. It's been striking to me how many book-lovers can immediately see the use of an e-book reader. And will this be a good thing for the environment? It's hard to judge. A report by the US book industry study group last year found that producing the average book releases more than 4kg of carbon dioxide into the atmosphere. Then there's the cost of warehousing and transport to consider. What about the electronic alternative? While the digital books themselves have a relatively low impact - recent figures suggest that transferring one produces around 0.1g of CO2 - there are other factors to take into account. Charging the reader and turning virtual pages all have an energy cost, as does turning on your computer and downloading a file. The heaviest burden, though, will be in making the reader itself. If one were to buy an e-book reader, then keep it for 30 years, the impact would be small. But many electronic devices don't last that long, it's unlikely that we would want to keep a single e-book reader as long as we might keep a book. Disposal of electronic items is extremely problematic. Recycling electronic equipment - or processing them into constituent parts - isn't without environmental damage. Paper books are, at least, eventually biodegradable, while e-book readers might pose a lasting environmental problem. E-books present another ethical problem - piracy. Music piracy has become ubiquitous since the advent of the iPod, and authors might fear e-books for that reason. The e-book also presents exciting creative possibilities for authors. Imagine being able to create a book that gives different content depending on where the reader is; or one which alters itself as it is read. The e-book could become a whole new art form. Books have been an object of veneration in our culture for centuries. It is natural - and green - not to want to toss them out. It would be best for the environment if we carried those habits over into the e-book. Just as we strive to prolong the life of printed books, passing them on when we have read them, we need to avoid making the e--book reader another annually replaced gadget. If the e-book revolution is to be a green one, we will need not only robust designs but also a new trade: the e-book repairer. Вопросы к тексту:
Немецкий язык Spart nicht so viel! Ökonomisch gesehen waren die alten Germanen ziemliche Dummköpfe. Sie unternahmen zwar von Zeit zu Zeit erfolgreiche Raubzüge bei den Römern, aber statt die erbeuteten Goldbecher gegen ein paar fette Wildschweine zu tauschen, bildeten sie sich ein, sie müssen für das Leben nach dem Tod vorsorgen. Die alten Germanen wussten nicht, wie Wirtschaft funktioniert. Die neuen Germanen verstehen es auch nicht. Man sieht das an einem wenig beachteten Phänomen: Der Durchschnittsdeutsche von heute pflegt seinen Besitz – und stirbt mit einem Vermögen von 150 000 Euro. Die Deutschen verhalten sich also ganz ähnlich wie ihre Vorfahren vor 2000 Jahren. Sie arbeiten sich jahrelang ab, um einen Reichtum aufzubauen, von dem sie zum großen Teil nichts haben, weil sie ihr Geld nicht ausgeben. Warum sind die Deutschen nur so dumm? Die schönste Antwort wäre: Sie sind nicht dumm, sondern selbstlos. Sie bauen ein Vermögen auf, weil sie sich Sorgen machen um ihre Kinder und ihnen die Zukunft sichern wollen. Der Mannheimer Wirtschaftsprofessor Axel Börsch-Supan hat vor kurzem in einer SAVE genannten Studie das Sparverhalten der Bundesbürger erforscht. Er hat dabei herausgefunden, dass die Unterstützung von Kindern und Enkeln beim Sparen keine große Rolle spielt. Als Hauptgrund für das Sparen nennen die Deutschen selbst die Altersvorsorge und den Schutz vor unvorhergesehenen Ereignissen. In Deutschland sorgt jedoch der Staat für bedürftige Bürger. Die Beiträge für Kranken-, Renten-, Pflege- und Arbeitslosenversicherung werden den Bundesbürgern direkt von ihrem Lohn abgezogen. Die Bürger jammern meist über diese hohen Abgaben an den Staat, tun aber gleichzeitig so, als ob es die staatlichen Versicherungen überhaupt nicht gäbe. Denn vom Nettoverdienst sparen die Deutschen laut SAVE-Studie noch einmal knapp 15 Prozent. Weit mehr als die meisten anderen Nationen. Geht der durchschnittliche Deutsche in den Ruhestand, hat er ein Vermögen, von dem allein er zehn Jahre bequem leben könnte. Dabei bekommt er auch noch eine staatliche Rente. […] Der private Verbrauch sinkt in Deutschland seit Monaten; dabei war er in den vergangenen Jahrzehnten noch nie besonders stark, abgesehen vom kurzen Kaufrausch nach dem Mauerfall. Edles Essen, teures Fleisch, neues Auto, neuer Anzug? Es geht auch ohne diesen Luxus. „Die Deutschen sind traditionell bescheiden, sie machen das Licht aus, wenn sie in ein anderes Zimmer gehen und stellen die Dusche ab, während sie einseifen“, sagt der Italiener Tommaso Padoa-Schioppa, Mitglied im Direktorium der Europäischen Zentralbank. Der Konsumstreik wäre nur konsequent und als Ausdruck demokratischer Macht zu begrüßen, wären die Deutschen ein Volk von Wachstumsgegnern und Umweltschützern, die lieber ohne Geld glücklich werden. Aber das sind sie nicht. Im Gegenteil, die Mehrheit der Bundesbürger verlangt nach einer aktiven Marktwirtschaft. In Umfragen wünschen sie sich regelmäßig mehr Wachstum und mehr Arbeitsplätze. Geld ausgeben und konsumieren sollen jedoch andere. Der Kapitalismus aber braucht den Konsum wie der Mensch die Nahrung. Wenn alle Verbraucher weniger Geld ausgeben und mehr sparen, schwächen sie die Wirtschaft, senken die Umsätze, vernichten Arbeitsplätze und reduzieren damit ihr eigenes Einkommen. Sie sparen sich nicht reich, sondern arm. In Deutschland gehen in diesen Wochen reihenweise Kaufhäuser und Geschäfte Pleite, und die halbe Republik beklagt, dass die Wirtschaft seit Jahren fast überall in der EU stärker wächst als hierzulande. Was den Umgang mit Geld angeht, haben die Germanen eben nichts dazugelernt. Вопросы к тексту:
ПРИЛОЖЕНИЕ №3 Программа «Технологии обучения в лингвистическом образовании» «Технологии обучения в лингвистическом образовании» |
Программа вступительного испытания «информатика» Программа вступительного испытания (собеседования) для поступающих в магистратуру по направлению 09. 04. 01 «Информатика и вычислительная... |
Программа и правила проведения вступительного испытания для абитуриентов,... Максимальное количество набранных баллов для участия в конкурсе соответствует 100 баллам |
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Программа вступительного испытания в магистратуру «Кораблестроение, океанотехника и системотехника объектов морской инфраструктуры» |
Программа вступительного экзамена Цель экзамена установить глубину профессиональных знании поступающего в магистратуру, уровень подготовленности к углублению изучения... |
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Программа вступительного испытания в магистратуру по направлению... ... |
Содержание программы вступительного испытания «география» Назначение... Предлагаемая модель экзаменационной работы по географии позволяет установить уровень освоения выпускниками федерального компонента... |
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Программа вступительного испытания по «Теории языка» ... |
Программа вступительного экзамена по математике и информатике для... Федеральное государственное бюджетное образовательное учреждение высшего образования |
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Перечень вопросов для вступительного экзамена в магистратуру в 2017... Аттестация газодымозащитников, ее цели и задачи, организационные основы, порядок, программа и материалы, используемые для нее |
Программа вступительного испытания для поступающих на заочную форму... Абитуриент должен продемонстрировать на экзамене следующий объем знаний, навыков и умений по иностранному языку |
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Программа вступительного испытания для поступающих на заочную форму... Абитуриент должен продемонстрировать на экзамене следующий объем знаний, навыков и умений по иностранному языку |
«лингвистике» на 2016/2017 год в магистратуру по направлению «лингвистика» Программа предназначена для подготовки абитуриентов к вступительному экзамену по лингвистике в магистратуру факультета иностранных... |
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Программа и правила проведения вступительного испытания Вступительный экзамен по литературе проводится в виде тестирования по материалам программы полной средней школы, основанной на Государственном... |
Программа и правила проведения вступительного испытания Вступительный экзамен по литературе проводится в виде тестирования по материалам программы полной средней школы, основанной на Государственном... |
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Программа вступительного экзамена в магистратуру по направлению «менеджмент» Москва, 2008 Выбор потребителя. Полезность и предельная полезность. Предпочтения потребителя и кривые безразличия для разных типов благ. Предельная... |
Программа вступительных испытаний в магистратуру по направлению подготовки:... Программа предназначена для лиц, поступающих в магистратуру по направлению подготовки 09. 04. 04 «Программная инженерия» |
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